Courtney & Spencer

Ma famille et moi étions arrivés depuis peu à Rosewood. Mes parents étaient déjà dans leur nouvelle boutique de fringues. Quant à mes frères et soeurs ils vaquaient chacun à leurs occupations. Quant à moi, j'avais décidé de me balader dans la ville afin de la découvrir puisque je n'étais plus revenu ici depuis que j'étais bébé.

Je savais que j'avais passé mes premiers mois de vie dans un orphelinat de cette ville et à vrai dire ça me faisait bizarre de me trouver là. J'aurais préféré rester à New-York mais je n'avais rien à dire, je devais juste suivre ma famille comme tous les adolescents du monde non ?

J'étais tranquillement en train de marcher lorsque je sentis comme un regard posé sur moi. Je n'aimais pas beaucoup ça, surtout que j'ai toujours été d'un naturel discret et je n'aime pas du tout qu'on remarque. Je me tournais vers l'endroit où j'avais l'impression qu'on me regardait et croisais le regard d'une jeune fille ayant à peu près mon âge.

Je n’avais pas cour la journée. La journée était tellement belle que je ne pouvais pas rester chez moi à rien faire, mes devoirs pouvaient attendre. Les filles quand a elles n’étaient pas libre. Je sourit et décida d’allez faire un petit tour dehors. Je pris mon portable et sorti.

Comme c’était agréable de sentir le soleil sur sa peau, cela faisait deux semaines qui pleuvaient. Je leva la tête vers le ciel, et sourit il n’y avait aucun nuage, le ciel était complètement dégagé. Je parti faire quelque pas n’import ou. Je n’avais pas vraiment de but juste me dégourdir les pattes en profitant au maximum de ce beau temps qui m’avais tellement manqué.

Je pensais être la seul dans les rues quand je vis une fille de mon age a peut prêt. De dos on aurais dit le portais cracher d’Ali son. Curieuse de cette ressemblance je décida de me rapproche de plus près. Je me décala et accéléra le pas pour marcher à sa hauteur pour mieux la voir.

Je voyais sont profil, c’étais le même qu’Alison, cela me troublais comment une fille pouvait elle lui ressemblais a se point ?. Étai-ce Alison ? Nan cela était impossible. La jeune femme se retourna vers moi elle avait du sentir que je la regardait. Quand je la vit e face j’eu le souffle couper. Mes yeux se remplirent de larmes. C’était elle Alison n’était pas morte. Je n’arrivais pas à y croire. Je resta la sans bouger, bouche bé.

J'étais bien contente d'être dehors aujourd'hui. Surtout qu'il faisait beau, c'était bien agréable. Rien de tel qu'un temps pareil pour découvrir une nouvelle ville. Ben oui, il fallait bien que je la visite pour apprendre à la découvrir puisque c'est ici que je vais vivre dorénavant. Il n'y avait pas un chat qui se baladait, je trouvais d'ailleurs cela étrange vu le temps qu'il faisait. J'espérais en tout cas que ça ne serait pas comme ça tout le temps, sinon la vie ne serait pas rose. J'allais vite m'ennuyer si tel était le cas.

Après quelques minutes j'avais bien senti qu'on m'observait et je m'étais tournée vers cette sensation. Je pus découvrir une fille aux cheveux longs et châtains foncés qui me regardait avec la bouche grande ouverte. On aurait cru qu'elle avait vu un fantôme. J'arquais les sourcils en me demandant pourquoi elle faisait cette tête. Cela éveilla ma curiosité et je ne pus me retenir d'aller vers elle pour savoir ce qu'il se passait et si elle allait bien.

- Bonjour, je voudrais savoir pourquoi vous me regardez de cette manière et également vous demander si vous allez bien.

J'aurais préféré continuer ma balade sans me sentir observée et ne pas avoir à venir voir cette fille mais il fallait que je sache pourquoi elle me regardait de cette manière. D'autant qu'elle m'était totalement inconnue et que je ne pensais pas l'avoir déjà rencontrée quelque part. Je regardais mes vêtements, je ne portais pas quelque chose de choquant donc ça ne pouvait pas être ça non plus.

J’étais sous le choque. Alison était bien en vit. Depuis un an elle avais disparue se jouait t’elle de nous ?. Elle s’approcha de moi elle me regardait d’une drôle de façon comme si elle ne me connaissait pas. Mes larmes coulaient sur mes joues. Elle ouvris la bouche et me posa une question.
- Bonjour, je voudrais savoir pourquoi vous me regardez de cette manière et également vous demander si vous allez bien.
Elle ne parlait pas comme d’habitude, elle faisait semblant de ne pas me reconnaître et je trouvais cela assez déplacer étant donné que les filles et moi avion passer plus d’un an de notre vie à tenter de résoudre sont « assassina ». Mais je n’avais pas la force de lui hurler dessus. Je fondis en larme tellement elle m’avait manquer. Je n’arrivais pas à aligner deux mots.

Ali… Alisonnne.

Je la pris dans me bras et la serra fort pour lui montré que je ne lui en voulais pas. Je ne s’avais pas ce qui c’était passer, mais pour le moment je voulais juste être avec mon amis qui m’avais t’en manqué Mais je ne pouvais pas m’empêcher de me poser des questions sur se qui lui était vraiment arriver, pourquoi elle ne nous avait pas donné de nouvelles etc. Mais nous avions tout le temps a présent qu'elle était rentré a la maison.

Je me demandais vraiment ce qui se passait dans la tête de cette fille. Voilà qu'à présent elle pleurait en me regardant. Je ne comprenais rien du tout et j'étais totalement perdue. Je fus très chamboulée lorsqu'elle prononça un prénom. Ainsi c'était ça, elle me confondait avec une autre. Alors que je me posais mille et une questions, elle me prit dans ses bras comme si j'étais de sa famille ou une grande amie. Je n'osais pas la repousser, ayant peur de la blesser mais il faudrait pourtant bien que je lui dise que je ne suis pas cette Alison. Au bout de quelques instants je me décidais à m'enlever de son étreinte, me reculer légèrement et la regarder droit dans les yeux.

- Je suis désolée mais je crois que vous faîtes erreur. Vous devez me confondre avec quelqu'un d'autre. Je suis toute nouvelle en ville et je ne m'appelle pas Alison mais Courtney. Lui dis-je doucement pour ne pas lui faire peur.

Je ne savais pas comment elle allait réagir mais j'avouais que pour ma part ça me faisait de la peine de la voir avec le regard encore rempli de larmes. Je n'aimais pas voir les gens souffrir, même si je ne les connaissais pas. Je ne pouvais m'empêcher de vouloir les aider ou tout du moins essayer de les rendre moins tristes. Je suis une bonne âme que voulez-vous.